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ATELIER-GALERIErue de l’Horloge |
Florence Prêleur, peintre de l’émotion subtile tient un juste équilibre entre structure ferme et imagination fougueuse. Les toiles ou papiers marouflés de Florence sont vraiment difficiles à caractériser, certes pas figuratifs, mais on peut voir un dragon transparaître dans les nuées et c’est normal puisque l’idée du tableau est née de l’observation d’un lézard sur le causse, logique ! Il ne s’agit pas de fantasmagorie, plutôt de l’imagination rêveuse qui génère des tableaux dont la beauté se nimbe de mystère, une vision que l’on a plaisir à contempler et à redécouvrir sans cesse. L’inspiration est presque toujours dans la nature pour un tableau qui n’est pas un décor mais un don.